Maturarbeit über Damen im Tischtennis

SM 2017 Samstag internet 113 von 212
Nina Gutknecht
Travail de maturité sur les Dames en tennis de table

Nina Gutknecht joue dans l’équipe des Dames d’Uster en LNB. Dans le cadre de son travail de maturité, la jeune femme de 18 ans s’est penchée sur le recul du nombre de Dames pratiquant notre sport.

La thèse finale est en francais!

 Texte : Annina Häusli / photo : René Zwald

 

«J’ai choisi ce thème car cela me dérangeait personnellement qu’il y ait si peu de filles qui pratiquent ce sport», précise Nina Gutknecht pour expliquer le choix du thème de son travail de maturité au collège. La joueuse de 18 ans défend les couleurs du TTC Uster en s’alignant chez les Dames en LNB. «Je trouve dommage qu’en tant que fille, on n’ait que rarement la possibilité en Suisse d’avoir de nouvelles adversaires ou des partenaires d’entraînement puisque l’on a l’impression d’avoir joué d’innombrables fois contre toutes.»

 

Elle dédiait ainsi son travail de fin d’études qu’elle écrivait à l’école cantonale de l’oberland zurichois au recul du nombre de Dames, intitulé plus précisément «le manque de filles au ping pong» puisque Gutknecht rédigeait son travail en français. «J’aime beaucoup cette langue et mon enseignant d’accompagnement me l’avait proposé. En plus, cela est d’entrée un avantage», raconte Nina avec un clin d’œil.

 

Dans le cadre de son travail, Nina Gutknecht examinait et analysait la situation du tennis de table féminin de différentes associations à l’aide d’interviews. L’élément principal de son travail était toutefois un projet qu’elle lançait elle-même avec le soutien du TTC Uster : un groupe de tennis de table pour filles qu’elle a créé, «afin que je puisse personnellement contrer ce manque», comme elle le souligne dans son travail. «Les entraînements avec les filles m’ont vraiment fait plaisir. En plus du jeu proprement dit, il fallait aussi que j’entretienne des relations avec elles en tant que personnes, respectivement enfants. Je vivais donc régulièrement des moments rigolos mais aussi difficiles», décrit Nina les expériences avec le groupe de filles.

 

Durant quatre mois, elle peaufinait son travail. Avec du recul, elle ne changerait pas beaucoup de choses, «mais je commencerais peut-être un peu plus tôt à faire de la publicité pour le cours destiné aux filles», ajoute Nina. Par ailleurs: «La rédaction du travail demandait beaucoup de temps et cela n’était pas toujours « cool ».»

 

Le travail de Nina Gutknecht peut être téléchargé pdfici. Bonne lecture !